La coordination nationale des universités "appelle toute la communauté universitaire et de la recherche à entrer dans une lutte active", à l'occasion de sa seconde assemblée générale qui s'est réunie à la Sorbonne, lundi 2 février 2009 (L'AEF n°108120).

Elle appelle aussi "à faire cours en dehors des cadres habituels". "Il peut s'agir d'informer et de mobiliser les étudiants", précise Sarah Hatchuel, professeur à l'université du Havre et membre du comité d'organisation.
"Les universités pourront également choisir d'un mode d'action local", ajoute-t-elle. La coordination appelle aussi à "une cérémonie nationale de non-remise des maquettes de master le vendredi 13 février devant le ministère et les rectorats" et invite les organisations syndicales et intersyndicales à "faire le lien avec le primaire et le secondaire". Les participants appellent également à "boycotter les expertises pour l'ANR et l'Aeres".
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DES PRÉSIDENTS D'UNIVERSITÉS ENTRENT EN LUTTE CONTRE LES RÉFORMES DE VALÉRIE PÉCRESS

Lettre Flash N°60 : Dans la grève active, dans les manifestations, partout en France, nous étions près de 50 000 universitaires, chercheurs, étudiants, ce jeudi 5 février.
C'est sans précédent. La part qu'y prennent les enseignants-chercheurs est considérable et inédite, les chercheurs sont venus en nombre. La présence de personnels issus de tous les horizons du supérieur et de la recherche (IUT, IUFM, Ecoles diverses, Instituts, EPST...), avec tous les statuts -en particulier des jeunes doctorants et docteurs confrontés à la précarité-, comme les rangs de plus en plus fournis des étudiants, sont la marque d'une dynamique très rapide qui a peu d'exemples.
Ce mouvement n'est pas spontané : des organisations syndicales et non syndicales, le SNESUP en particulier, ont alerté, dénoncé et organisé les résistances en impulsant diverses formes de mobilisations depuis des semaines. Le gouvernement et singulièrement Valérie Pécresse portent une lourde responsabilité en refusant le retrait des textes et mesures contestés.
La coordination nationale des personnels des IUFM et des départements universitaires impliqués dans la formation des enseignants, s'associe à cette manifestation pour demander le :
Manifestation
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Ce mouvement n'est pas spontané : des organisations syndicales et non syndicales, le SNESUP en particulier, ont alerté, dénoncé et organisé les résistances en impulsant diverses formes de mobilisations depuis des semaines. Le gouvernement et singulièrement Valérie Pécresse portent une lourde responsabilité en refusant le retrait des textes et mesures contestés.
- le retrait de la réforme des concours et de la formation des enseignants ;
- le maintien des concours dans leur configuration actuelle et un recrutement à la hauteur des besoins, ainsi que le maintien de l’année de formation en alternance rémunérée après le concours ;
- l’ouverture de négociations pour une autre réforme de la formation et du recrutement, qui respecte l’existence et la vocation des IUFM à être au cœur de cette formation, qui permette la reconnaissance du haut niveau de qualification et qui tienne compte de la nécessaire formation professionnelle après la réussite au concours.
Manifestation
- Toulouse à 14 h 30; Rendez-vous IUFM, place du capitole, devant Mac do
- Paris 14 h : place Edmond Rostand (niveau Luxembourg sur le boulevard Sain-Michel) pour aller en direction de l'Assemblée Nationale, par les boulevards Saint-Michel, du Montparnasse et des Invalides
- Université de Toulouse 1 (UT1)
- Université de Toulouse 2 (UT2)
- Université de Toulouse 3 (UT3)
- Institut Universitaire de Formation des Maîtres (IUFM)
- Institut Universitaire de Technologie (IUT)
- Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)
- ......
- Pétition pour le FDE (syndicats de la FSU)
- Collectif de l'IUFM de Grenoble
- Les futurs PE ne peuvent pas être un Bac+3 en langue
- Darcos démission
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